Le 3 novembre 2016, PERIAL révélait les résultats du Baromètre de l’épargne immobilière 2016, réalisé en collaboration avec l’institut Opinionway. Cette nouvelle édition confirme les tendances observées en 2015 : l’épargne immobilière est méconnue mais séduit quand elle explicitée.
Faits marquants mis en exergue par l’édition 2016 du baromètre, les populations les plus intéressées sont les catégories socio-professionnelles les plus aisées (qu'on appelle désormais les CSP A) et les personnes âgées de moins de 35 ans, la désormais fameuse "génération Y". Par ailleurs les offres digitales apparaissent comme un bon levier de décision pour la réaffectation de produits d’épargnes traditionnels vers l’épargne immobilière.
Cette deuxième édition du baromètre confirme ce que nous savions de l’attitude des français vis-à-vis de l’épargne. Une de leurs principales motivations est de disposer d'une épargne de sécurité (75%), de financer leur retraite (45%) et de se constituer un patrimoine (45%). Concernant l’épargne immobilière, le constat demeure inchangé par rapport à 2015. Malgré des records de collecte enregistrés en 2015 (4 milliards d'euros collectés par les SCPI tout de même, et les chiffres consolidés de 2016 confirmeront cette tendance), la notoriété et la possession de l’épargne immobilière restent stables... et faibles : respectivement 1% et 6% seulement.
L’épargne immobilière est nettement plus attractive auprès des jeunes
L’épargne immobilière continue donc à être peu connue, mais une fois présentée elle reçoit un accueil largement largement positif. Elle est particulièrement attractive auprès d’une cible jeune (40 % de moins de 35 ans, contre 26 % au global de l’échantillon). Par ailleurs, l’intention de réallocation des moins de 35 ans est de 39% (contre 24% pour l’ensemble des français), ce qui souligne encore leur intérêt prononcé.
Un intérêt renforcé par une offre digitale d’épargne immobilière
En complément de l’offre classique, l’offre digitale permet de stimuler l’attractivité globale de l’offre. Elle dope les intentions de réallocations, notamment un fois encore auprès de la génération Y (40% contre 26% pour l’ensemble des personnes interrogées).
L’offre digitale apparaît donc comme un accélérateur d’appétence pour les jeunes, plus familiers et moins frileux à l’égard de ce type de consommation des produits d’épargne. Conforté par ces enseignements, le groupe PERIAL est engagé dans la préparation d’une offre digitale à destination de cette nouvelle génération d’épargnants.
La génération Y ambassadrice de l'épargne immobilière